L’accordéon.
Une autre belle journée où, bien assis sur le balcon avec une température d’été comme je les aime, c’est-à-dire pas trop, chaud, pas trop froid, avec une douce humidité et un soleil qui se cache pour ne pas nous brûler et nous laisser doucement profiter de la dolce vita, j’écoute Richard Galliano.
Je ne vous pas encore parlé d’un de mes plaisirs coupable: l’accordéon! Rassurez-vous, j’en ai plusieurs: mais non pas des accordéons, je n’en joue malheureusement pas, mais des plaisirs coupables, tenez, comme de rêvasser devant les fenêtres. Tous mes professeurs de la petite école vous le diront, vous ne mettez pas Yves devant la fenêtre si vous voulez qu’il écoute votre cours, mais vous l’y collez si vous voulez avoir la paix.
Déjà tout petit, Yvette Horner avec sa musique de bal musette me faisait rêver tout comme les films français avec Bourvil, Gabin, Fernandel, Marais et tous les autres. Et ça m’est resté. Encore cette semaine, avec ma chérie, nous écoutions Michel Serrault dans « On ne meurt que deux fois », après Gabin et Morgan dans « Le quai des Brumes », (« T’as une belle gueule tu sais ») la semaine passée.
J’adore ces plaisirs coupables! On en redemande et on en veut.
Bon je pense que comme Raimu: « Je ferais bien une petite sieste, peuchère. »
Et c’est parti, à la prochaine.